Lettre du 5 juin 2020

Me Larose,

Je vous remercie pour votre courriel du 4 juin.

Il est évident que les avocats seront consultés en temps et lieu, et dès lors que l’urgence se sera dissipée et que nous ne pourrons plus que de boucher les trous au gré de leur survenance.

Je vous redis que les avocats sont des partenaires et qu’ils feront partie de la solution.

Je vous prie de recevoir mes salutations distinguées.